Disons que vos clients ne passent souvent qu’une ou deux nuits maximum et que votre location respire le bien-être et la zénitude. Ou encore que vous vous situez dans une zone où on a besoin de sa petite laine pour se couvrir le soir et où le soleil joue à cache-cache. Dans cet exemple, le bain à remous et son eau chaude conviendront alors parfaitement à ce cadre, pour offrir une touche spa/relaxation/délassement au séjour.
Relativement peu encombrants, les jacuzzis ne nécessitent pas de travaux lorsqu’ils sont en version hors-sol, et ne sont pas soumis à une réglementation particulière quand ils sont installés en intérieur. En version gonflable, ils ont le gros avantage de pouvoir être placés un peu partout dans le logement, et à l’achat, ils représentent la solution la moins chère des trois.
Pour autant, avoir un jacuzzi n’est pas de tout repos, pour vous comme pour votre budget : en tant que jacuzzi privé à usage collectif, la qualité de l’eau doit être quotidiennement analysée et le jacuzzi doit être vidangé au moins une fois par semaine*, ce qui représente déjà un certain coût, et qui s’ajoute à celui des produits d’entretien qui ne sont pas donnés.
Aussi, tout le monde n’étant pas à l’aise avec l’électronique, vos clients pourraient mal manipuler le tableau de bord du spa et causer des dysfonctionnements… C’est pour cela qu’il est nécessaire de mettre en place un règlement d’utilisation assez détaillé (temps d’utilisation, température maximale, tutoriel d’utilisation, etc), contrairement à la piscine ou au bac à punch, qui sont plus simples à gérer.
*Tout est détaillé dans la circulaire N°DGS/EA4/2010/289 du 27 juillet 2010 !